Sagot :
Ô ma douce, ma tendre, ma chère Orthense !
En votre présence, je retombe en enfance,
Votre parfum sucré, la douceur de vos mains,
M'enivrent à tel point que je vous appartient,
A notre premier baiser, vous m'avez ensorcelé,
Je vous offre mon cœur et toutes mes pensées,
Ô ma bien-aimée, je me languis de vous revoir,
Car en cet instant, je suis en proie au désespoir !
Et passent les heures, les minutes interminables,
Le temps me paraît si long, qu'il me rend malade!
Je vous veux mienne, pour l'éternité à mes côtés.