Bonjour besoin d'aide svp pour une question de mon cours
4- À partir de tes connaissances, indique les deux textes ou décisions de l’Assemblée
nationale qui ont permis cette évolution.
« Parmi les pièces authentiques qui me servent de guide, je trouve les actes de décès de
mes parents. Ces actes marquant aussi d’une façon particulière le décès du siècle, je les
consigne ici comme une page d’histoire.
“Extrait du registre de décès de la paroisse de Combourg, pour 1786, où est écrit ce qui
suit, folio 8, verso :
Le corps de haut et puissant messire René de Chateaubriand, chevalier, comte de
Combourg, seigneur de Gaugres, le Plessis-l’Épine, Boulet, Malestroit-en-Dol et autres
lieux, époux de haute et puissante dame Apolline-Jeanne-Suzanne de Bedée de La
Bouëtardais, dame comtesse de Combourg, âgé de soixante-neuf ans environ, mort en
son château de Combourg, le six septembre, environ les huit heures du soir, a été inhumé
le huit, dans le caveau de ladite seigneurie placé dans le chasseau de notre église de
Combourg, en présence de messieurs les gentilshommes, de messieurs les officiers de la
juridiction et autres notables bourgeois soussignants.
Signé au registre : le comte du Petitbois de Monlouët, de Chateaudassy, Delaunay,
Morault, Noury de Mauny, avocat ; Hermer, procureur ; Petit, avocat et procureur fiscal ;
Robiou, Portal, Le Douarin de Trevelec, recteur doyen de Dingé ; Sévin, recteur.”
“Extrait du registre des décès de la ville de Saint-Servan, premier arrondissement du
département d’Ille-et-Vilaine, pour l’an VI de la République, folio 35, recto, où est écrit ce
qui suit :
Le douze prairial, an six de la République française devant moi, Jacques Bourdasse,
officier municipal de la commune de Saint-Servan élu officier public le quatre floréal
dernier, sont comparus Jean Baslé, jardinier, et Joseph Boulin, journalier, lesquels m’ont
déclaré qu’Apolline-Jeanne-Suzanne de Bedée, veuve de René-Auguste de Chateaubriand,
est décédée au domicile de la citoyenne Gouyon, situé à La Ballue, en cette commune,
ce jour, à une heure après midi. D’après cette déclaration, dont je me suis assuré de la
vérité, j’ai rédigé le présent acte, que Jean Baslé a seul signé avec moi, Joseph Boulin
ayant déclaré ne le savoir faire, de ce interpellé.
Fait en la maison commune lesdits jour et an. Signé : Jean Baslé et Bourdasse.” »