Sagot :
Salut :-)
Mes livres empilés sous la poussière sont ternes et froids comme des
poissons morts.
Parmi les joncs pliés en deux par le cours de l’eau, il y avait des bateaux amarrés et de vieux chalands échoués dans la vase.
On trouvait des hommes étendus, bras dénoués, aplatis contre la terre, les yeux fermés et à côté d’eux, les faucilles abandonnées luisaient dans l’herbe.
Nous restâmes longtemps éveillés, près du feu, devant la hutte.
Nous sommes descendu à travers les ronces.
Au plaisir ;-)