Sagot :
De la valeur ajoutée au PIB
La valeur ajoutée permet de mesurer la richesse créée . La valeur ajou- tée totale sur un territoire correspond à la somme de la valeur ajoutée des productions marchande et non marchande.
Le Produit intérieur brut (PIB) mesure la richesse créée. Il peut être calculé simplement en faisant la somme des valeurs ajoutées réalisées sur le territoire national en une année.
Les évolutions historiques de la croissance
Pour calculer la croissance économique, il faut d’abord calculer l’évolu- tion en pourcentage du PIB entre deux années ou entre deux trimestres. L’augmentation de la valeur du PIB peut être due à une augmentation du volume des richesses produites, mais aussi à une augmentation de leurs prix. Afin de s’assurer que la croissance est bien le re- flet d’une augmentation de la quantité des richesses créées, celle-ci cor- respond donc au taux de variation du PIB duquel on déduit la variation des prix. On parle alors de taux de variation à prix constants.
La croissance économique mondiale est très faible lors du premier mil- lénaire et il faut attendre la première moitié du XIXe siècle pour que celle-ci commence à s’accélérer sous l’effet de la révolution industrielle. De 1800 à 1900, le PIB est multiplié par 3, puis par presque 20 de 1900 à 2000, et il double quasiment entre 2000 et 2016.
Les limites de la croissance et du PIB
La croissance économique a des limites, notamment écologiques, car elle entraîne un épuisement des ressources naturelles et contribue au changement climatique .
La croissance est mesurée par la variation du PIB. Or, cet indicateur comptabilise positivement des productions qui ont un impact négatif sur l’environnement et le bien-être. Par ailleurs, le PIB est un indicateur glo- bal qui ne rend pas compte des inégalités de revenus : la richesse créée au niveau mondial est très inégalement répartie en fonction des conti- nents, mais aussi au sein d’un même pays.
Les limites de la croissance obligent à repenser l’approche purement comptable du PIB : la création de richesses doit aussi prendre en compte les émissions de CO2 ou les inégalités de revenus. De ces limites découle la réflexion actuelle sur de nouveaux indicateurs prenant en compte davantage d’éléments.
La valeur ajoutée permet de mesurer la richesse créée . La valeur ajou- tée totale sur un territoire correspond à la somme de la valeur ajoutée des productions marchande et non marchande.
Le Produit intérieur brut (PIB) mesure la richesse créée. Il peut être calculé simplement en faisant la somme des valeurs ajoutées réalisées sur le territoire national en une année.
Les évolutions historiques de la croissance
Pour calculer la croissance économique, il faut d’abord calculer l’évolu- tion en pourcentage du PIB entre deux années ou entre deux trimestres. L’augmentation de la valeur du PIB peut être due à une augmentation du volume des richesses produites, mais aussi à une augmentation de leurs prix. Afin de s’assurer que la croissance est bien le re- flet d’une augmentation de la quantité des richesses créées, celle-ci cor- respond donc au taux de variation du PIB duquel on déduit la variation des prix. On parle alors de taux de variation à prix constants.
La croissance économique mondiale est très faible lors du premier mil- lénaire et il faut attendre la première moitié du XIXe siècle pour que celle-ci commence à s’accélérer sous l’effet de la révolution industrielle. De 1800 à 1900, le PIB est multiplié par 3, puis par presque 20 de 1900 à 2000, et il double quasiment entre 2000 et 2016.
Les limites de la croissance et du PIB
La croissance économique a des limites, notamment écologiques, car elle entraîne un épuisement des ressources naturelles et contribue au changement climatique .
La croissance est mesurée par la variation du PIB. Or, cet indicateur comptabilise positivement des productions qui ont un impact négatif sur l’environnement et le bien-être. Par ailleurs, le PIB est un indicateur glo- bal qui ne rend pas compte des inégalités de revenus : la richesse créée au niveau mondial est très inégalement répartie en fonction des conti- nents, mais aussi au sein d’un même pays.
Les limites de la croissance obligent à repenser l’approche purement comptable du PIB : la création de richesses doit aussi prendre en compte les émissions de CO2 ou les inégalités de revenus. De ces limites découle la réflexion actuelle sur de nouveaux indicateurs prenant en compte davantage d’éléments.