Sagot :
Réponse :
Don Diègue, après s'être assuré du courage de son fils, va lui demander de le venger de l'affront qu'il a subi du comte.
On ne peut juger avec les critères d'aujourd'hui l'exigence de don Diègue. A l'époque, il existe un vrai code de l'honneur, du nom, du rang que l'on occupe. Une offense doit être vengée, réparée, à l'époque par l'épée. La formation à l'escrime faisait partie de l'éducation des fils nobles de même qu'ils avaient une formation pour aller au combat et pour commander.
Don Diègue ne pouvait demander à personne d'autre la réparation de l'offense. Un fils qui aurait refusé aurait été jugé indigne.