Sagot :
Réponse :
Dans le recueil les fleurs du mal, Baudelaire a mis son spleen et son idéel
I. Le spleen baudelairien est cette mélancolie maladive qui lui donne une sensibilité au temps, aux pauvres, à la laideur, à la mort.
II. Il poursuit néanmoins un idéal de beauté souvent inaccessible
- il met l'imagination comme première des faculté
- la beauté est celle d'une statue inaccessible
- la femme est à la fois la muse, l'inspiratrice et l'ange du démon
III. Tel un alchimiste, il transforme la boue en or
- le titre du recueil est explicité : faire pousser des fleurs sur la laideur
- ne pas refuser de parler de la charogne, des vampires, de la mort, des vieilles mais avec un regard nouveau
- par le jeu des sonorités, des images nouvelles, par la maîtrise du vers, il crée une poésie qui transcende la réalité.