Sagot :
Réponse :
Bonjour
Explications :
Quand nous avions donc traîné jusqu'au soir de chemins en collines et de luzernes en carottes (sub conjonctive circonstancielle) , on finissait tout de même par s'arrêter pour que notre général puisse coucher quelque part.( sub conjonctive circonstancielle) On lui cherchait, et on lui trouvait un village calme, bien à l'abri, où les troupes ne campaient pas encore ( sub relative) et s'il y en avait déjà dans le village des troupes (sub conjonctive circonstancielle) , elles décampaient en vitesse, on les foutait à la porte, tout simplement; à la belle étoile, même si elles avaient déjà formé les faisceaux.
Le village c'était réservé rien que pour l'état-major, ses chevaux, ses cantines, ses valises, et aussi pour ce saligaud de commandant. Il s'appelait Pinçon ce salaud-là, le commandant Pinçon. J'espère qu'à l'heure actuelle il est bien crevé (et pas d'une mort pépère) (sub conjonctice complétive) . Mais à ce moment-là, dont je parle (sub relative) , il était encore salement vivant, le Pinçon. [...]
Et moi qui n'étais point brave (sub relative) et qui ne voyais pas du tout (sub relative) pourquoi je l'aurais été brave ( interrogative indirecte) , j'avais évidemment encore moins envie que personne de retrouver son Barbagnys, dont il nous parlait d'ailleurs lui-même absolument au hasard.(sub relative)