Bonjour, Exercice 2 : Sauriez-vous repérer les figures qui se cachent dans ces phrases ? Les éléments soulignés doivent vous y aider. Commentez-les ensuite.

1. Je puis dire que la vue du bonheur m’a rendu malheureux. (Stendhal)

2. Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. (La Fontaine)

3. Il prit un calepin, y inscrivit les paroles qui excitaient son attention à la suite les unes des autres. Peu à peu cette sorte de pêche le captiva. Il jetait son filet, harponnait une phrase. (Chedid)

4. La paupière s’abaissait et se relevait comme une aile de chauve-souris.

5. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage
Traversé çà et là par de brillants soleils. (Baudelaire)

6. Va, cours, vole et nous venge. (Corneille)

7. Grâce à vous, une robe a passé dans ma vie. (Rostand)

8. Que les gens d’esprit sont bêtes ! (Beaumarchais)

9. Paris a froid Paris a faim / Paris ne mange plus de marron dans les rues / Paris a mis de vieux vêtements de vieille /Paris dort debout sans air dans le métro (Eluard)


bonne fin de journée x)


Sagot :

Réponse :

1. Je puis dire que la vue du bonheur m’a rendu malheureux. (Stendhal)

-personnification

2. Un souffle, une ombre, un rien, tout lui donnait la fièvre. (La Fontaine)

- énumération avec gradation  

3. Il prit un calepin, y inscrivit les paroles qui excitaient son attention à la suite les unes des autres. Peu à peu cette sorte de pêche le captiva. Il jetait son filet, harponnait une phrase. (Chedid)

- métaphore filée

4. La paupière s’abaissait et se relevait comme une aile de chauve-souris.

-antithèse

5. Ma jeunesse ne fut qu’un ténébreux orage (métaphore)

Traversé çà et là par de brillants soleils. (Baudelaire) (antithèse avec orage)

6. Va, cours, vole et nous venge. (Corneille)

- gradation ascendante

7. Grâce à vous, une robe a passé dans ma vie. (Rostand)

- métonymie

8. Que les gens d’esprit sont bêtes ! (Beaumarchais)

- antithèse

9. Paris a froid Paris a faim / Paris ne mange plus de marron dans les rues / Paris a mis de vieux vêtements de vieille /Paris dort debout sans air dans le métro (Eluard)

- anaphore