Sagot :
On observe qu’au contact du dioxygène dans l’expérience 1, la solution ne contient seulement que des traces de l’éthanol produit par les levures et il y’a 250mg de levure formée par g de glucose consommé.
Lors de l’expérience 2, on appauvri la solution en dioxygene mais elle n’en est pas totalement privée. On observe que la solution contient de l’éthanol produit par les levures, et 40mg de levure formée par g de glucose consommé.
Enfin, pour la 3eme expérience la solution est totalement privée de dioxygene. Les résultats donnent une quantité importante d’éthanol mais seulement 5,7mg de levure formée par g de glucose consommé.
On conclut que le dioxygene permet, a la levure contenue dans la solution, de former plus ou moins d’éthanol en fonction de son apport en dioxygene. Moins il y a de dioxygene plus il y a d’éthanol formé et plus le rendement de la culture est bas.
Lors de l’expérience 2, on appauvri la solution en dioxygene mais elle n’en est pas totalement privée. On observe que la solution contient de l’éthanol produit par les levures, et 40mg de levure formée par g de glucose consommé.
Enfin, pour la 3eme expérience la solution est totalement privée de dioxygene. Les résultats donnent une quantité importante d’éthanol mais seulement 5,7mg de levure formée par g de glucose consommé.
On conclut que le dioxygene permet, a la levure contenue dans la solution, de former plus ou moins d’éthanol en fonction de son apport en dioxygene. Moins il y a de dioxygene plus il y a d’éthanol formé et plus le rendement de la culture est bas.