Sagot :
Tout d’abord en 2013, cumulant près de 20 milliards de dettes, Détroit est en faillite. Les friches industrielles (usines à l’abandon) côtoient des friches résidentielles : maisons abandonnées par les propriétaires qui ne peuvent plus rembourser leurs emprunts.
Ensuite, le taux de chômage dans Détroit atteint 50% (6% aux États-Unis) et le taux de criminalité culmine à 50 meurtres / 100 000 habitants. en conséquence la ville rétrécit. la ville perd des habitants, passant de 1,8 millions à 1,2 en 1980, moins de 650 000 en 2018. La délocalisation des usines automobiles (Ford) en banlieue explique ce déclin démographique.
Pour finir les Blancs fuient la ville et s’installent en banlieue : 85% des habitants de Détroit sont Africains-Américains (14% aux États-Unis).
Ensuite, le taux de chômage dans Détroit atteint 50% (6% aux États-Unis) et le taux de criminalité culmine à 50 meurtres / 100 000 habitants. en conséquence la ville rétrécit. la ville perd des habitants, passant de 1,8 millions à 1,2 en 1980, moins de 650 000 en 2018. La délocalisation des usines automobiles (Ford) en banlieue explique ce déclin démographique.
Pour finir les Blancs fuient la ville et s’installent en banlieue : 85% des habitants de Détroit sont Africains-Américains (14% aux États-Unis).