Sagot :
Bonjour, « m’aidiez » en lieu et place de « m’aider », et « à ceux » qui « répondront ».
Il est déjà important que tu poses ta question en bon français, d’où je me permets de te corriger.
Ensuite, qu’as-tu eu l’occasion de voir (films, séries ou autres) ou de lire (livres, nouvelles,..) concernant la fin du monde ou la disparition de l’espèce humaine? Ça m’aiderait à t’aider.
Quant à la fascination dont nous faisons preuve quand le sujet est abordé, il y a un premier point commun à tout être humain vivant sur cette planète: nous avons besoin de cette planète pour vivre, au sens propre. Plus de planète, plus d’être humain. Ni moi, ni toi. Nous savons tous que nous allons mourir, mais nous possédons tous également un instinct primaire (parmi d’autres) qui est l’instinct de survie. Nous craignons la mort. Mais sachant que nous ne pouvons y échapper, et que nous malmenons notre planète qui manifeste sa « souffrance » de diverses manières, nous ne pouvons qu’être fascinés (entre autres) par l’évocation, la modélisation, la visualisation de ce qui pourrait devenir bien réel. Nous sommes fascinés car cela nous terrifie.
À mon sens. Un point important à aborder également est que chacun a le pouvoir de faire des petits quelques choses pour épargner notre planète. Si chaque être humain fait un petit quelque chose et sachant que les petits ruisseaux font les grandes rivières, imagine l’impact sur notre planète et par définition sur la persistance de l’espèce humaine…
Il est déjà important que tu poses ta question en bon français, d’où je me permets de te corriger.
Ensuite, qu’as-tu eu l’occasion de voir (films, séries ou autres) ou de lire (livres, nouvelles,..) concernant la fin du monde ou la disparition de l’espèce humaine? Ça m’aiderait à t’aider.
Quant à la fascination dont nous faisons preuve quand le sujet est abordé, il y a un premier point commun à tout être humain vivant sur cette planète: nous avons besoin de cette planète pour vivre, au sens propre. Plus de planète, plus d’être humain. Ni moi, ni toi. Nous savons tous que nous allons mourir, mais nous possédons tous également un instinct primaire (parmi d’autres) qui est l’instinct de survie. Nous craignons la mort. Mais sachant que nous ne pouvons y échapper, et que nous malmenons notre planète qui manifeste sa « souffrance » de diverses manières, nous ne pouvons qu’être fascinés (entre autres) par l’évocation, la modélisation, la visualisation de ce qui pourrait devenir bien réel. Nous sommes fascinés car cela nous terrifie.
À mon sens. Un point important à aborder également est que chacun a le pouvoir de faire des petits quelques choses pour épargner notre planète. Si chaque être humain fait un petit quelque chose et sachant que les petits ruisseaux font les grandes rivières, imagine l’impact sur notre planète et par définition sur la persistance de l’espèce humaine…