besoin d'aide svp
La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui deplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. Une étoffe qu'il n'aurait pas choisie 11 avait des idées sur les étoffes. Une étoffe qu'il avait vue sur plusieurs femmes. Cela lui fit mal augurer de celle-ci quì portait un nom de 5 princesse d'Orient sans avoir l'air de se considérer dans l'obligation d'avoir du goût. Ses cheveux étaient ternes ce jour-là, mal tenus. Les cheveux coupés, ça demande des soins constants. Aurélien n'aurait pas pu dire si elle était blonde ou brune. Il l'avait mal regardée. Il lui en demeurait une impression vague, générale, d'ennui et d'irritation. Il se demanda même pourquoi. C'était disproportionně. Plutôt petite, påle, je crois... Qu'elle se fût appelée Jeanne ou Marie, il n'y aurait pas repensé, après coup. Mais Bérénice. Drôle de superstition. Voilà bien ce qui l'irritait.


2. Souligner les verbes conjugués à des modes personnels et indiquer sous chacun son temps et son mode.

3. Expliquer l'orthographe des participes passés suivants : « était habillée >> (1.2), « n'aurait pas choisie » (1.3) et « avait mal regardée » (1.8). S'aider du manuel pages 349 et 354.

4. Chercher la définition des mots : étoffe, augurer, constant, superstition, teme (indiquer la classe grammaticale de chacun des mots).​