XIX: développement de l’industrialisation et du développement des pôles urbains entraînant des conditions de travail ecxecrables et des accidents du travail. On s’interroge alors sur le paupérisme, c’est à dire que le travail ne protège plus de la pauvreté. Les élites bourgeoises prennent la question au sérieux c’est là que l’on apparaître les politiques paternalistes avec les phalanstères ou l’usine du Creusot Schneider. Mais les conditions sont toujours pas oufs notamment sur la question de l’aliénation du travailleur à sa machine qui doivent suivre « les cadences »qu’ils lui sont imposées.
Le mouvement socialiste prend de l’ampleur avec la première internationale et la seconde qui encourage les grèves générales. En Allemagne, le SPD devient le premier parti national alors l’empereur doit faire des concessions notamment la création d’un premier système de mutuelle.
En France, la III République fait aussi des réformes sociales sous l’impulsion de grands personnages comme Jean Jaurès mais ces réformes sont plus la pour limiter les insurrections car la République reste réticente aux travailleurs notamment avec la répression de grève comme celle de Fourmies.
XX: Avec la première guerre mondiale et la guerre totale le travail s’ouvre plus largement aux femmes dans les industries d’armement.
Dans l’entre deux guerres, les travailleurs obtiennent de nouveaux droits comme les congés payés grâce au front populaire de Léon Blum.
Pendant l’occupation les travailleurs sont utilisés pour la collaboration avec le régime nazi notamment par le biais du STO.
