Réponse:
Le protoxyde d'azote (N2O) en excès contribue à la destruction de la couche d'ozone, en interaction avec d'autres gaz. ... Dès le début des années 1970, des météorologues et scientifiques s'inquiètent de l'augmentation du taux de N2O dans la haute atmosphère, mais il n'a pas été inclus dans le Protocole de Montréal.