Bonsoir,
réécriture n1: Il n’avait bien compris qu'une chose : le puits avait avalé des hommes par bouchées de vingt et de trente, et d'un coup de gosier si facile, qu'il avait semblé ne pas les sentir passer. Dès quatre heures, la descente des ouvriers avait commencée. Ils étaient arrivés de la baraque, (…) attendant par petits groupes d'être en nombre suffisant (…)La cage de fer était montée du noir, s’était calée sur les verrous. Des moulineurs, aux différents paliers, étaient sortis des les berlines, les avaient remplacées par d'autres(…). Et c’avait été dans les berlines vides que s’étaient empilés les ouvriers.