Sagot :
Réponse:
Je me pinçai la peau du bras pour savoir si ce cauchemar était réel ou s'il venait de mon imagination et ainsi avec un grand désarroi je me rendait compte que ce qui se passait avait tout de réel en ressentant une vive douleur au bras. Mais que m'arrivait-il ?! C'est alors que la main d'un personnage animé d'une peinture sortit de son cadre. Ni une ni deux je me propulsai du lit et avec terreur me dirigeai vers la porte en courant le plus vite possible, comme on dit, la peur nous fait repousser nos limites. Tout un tas de questions se chamboulaient dans ma tête mais la terreur m'empêchait de réfléchir sereinement. Mais que diable se passait-il dans cette demeure ?C'est à un détour de couloir que de nouvelles choses dérangeantes firent leur apparition: des soldats venant d'une tapisserie venaient eux aussi de se matérialiser et me regardèrent de leurs yeux sans fond d'un noir absolu. S'en fut trop pour moi et je sentit que mon heure venait d'arriver mon corps ne me répondait plus, paralysé de peur et des sueurs froides dégoulinant sur l'arrête de mon nez. Ils sapprochèrent de moi de manière menaçante et enfoncèrent leurs lames dans mon corps.
Puis, l'instant d'après me retrouvai dans mon lit, mon cœur battant la chamade. Ensuite, retrouvant un paysage normal sans paranormal en vue me recouchai sans mal et me sentant bête d'avoir pu imaginer que ceci n'était pas un rêve.