Sagot :
D’un côté oui parce qu’elle respecte le principe de montée aux extrêmes de part le recrutement des djihâdistes puis elle respecte aussi le principe de brouillard de guerre c’est à dire tous les aléas qui influe sur le cours de la guerre (Meteo, topographie du terrain, moral des soldats…) . Mais de l’autre, la guerre contre le terrorisme reste très informel déployant de nouvelles armes et de nouveaux acteurs comme les milices civils ou le mercenariat. De plus, on ne se bat plus contre un pays précis mais plus un groupe organisé à cheval sur plusieurs territoires ce qui rompt complètement avec Clausewitz