Sagot :
Réponse :
1. Le sujet central de la conversation entre Kate et Baïkal est la possibilité qu’il existe un autre monde au-delà des frontières de cet univers globalisé et uniformisé dans lequel ils vivent.
2. a) Kate a une opinion très positive de Globalia : elle considère que c’est un monde où l’on est heureux.
b) Elle apporte deux arguments. Tout d’abord, il s’agit d’un monde sans guerre : « Aurais-tu la nostalgie du temps où il y avait des nations différentes qui n’arrêtaient pas de se faire la guerre ? » Ensuite, c’est un monde sans frontières dans lequel on peut se déplacer librement : « Tu ne peux tout de même pas nier qu’on peut aller partout. »
c) Pour tenter de convaincre Baïkal, Kate emploie des questions rhétoriques : « Il n’y a plus de frontières désormais. Ce n’est tout de même pas plus mal ? »
3. a) Baïkal a une vision très critique de Globalia : c’est un monde totalitaire, où la liberté de penser et de se déplacer n’est qu’apparente, où tous les habitants sont amenés à penser de la même manière. Il voit Globalia comme une prison, physique et morale.
b) Baïkal souhaite s’évader de cet univers, partir à la recherche d’un ailleurs. Cela fait des semaines qu’il enquête sur les « non-zones ». Il s’est procuré un logiciel cartographique. Il est persuadé qu’il y a un autre monde hors de Globalia.
4. Kate tente de le convaincre de regagner Globalia. Elle a peur de l’inconnu qui les attend et elle voit Baïkal perdu, au bord des larmes.
(je ne suis pas sure pour la dernière)