Réponse :
la terre d' où je viens, à l'abris du regard. N'est pas vaste et ne fait que quelques pauvres ares. Quiconque la verrait n'aimerait ses prairies. Mais c'est ma terre à moi, le berceau de ma vie. Le sol de mon exil à tout à lui envier. Son ciel n'est pas si beau, son brouillard si léger. Ces vallées et ces monts, qu'ils manquent de tendresse. Même les étoiles m'évoquent la tristesse.
Explications :
Et voilà, j'éspère que mon petit poême te plaire.