Sagot :
Lettre d’un soldat destiné à sa mère:
Ma chère mère,
A l’heure d’aujourd’hui je suis encore vivant, dieu soit loué! J’ai faillit perdre la vie lors d’une attaque mais j’ai été soigné à temps, j’en remercie les infirmières présentes sur place. Chaque jour qui passe, je vois mes camarades tombés les uns après les autres soit morts soit blessés aux mains des Boches, qui nous ont fait souffrir les mille horreurs, liquides enflammés, gaz asphyxiant, attaques, obus…
Ici c’est la guerre! Il devient de plus en plus dur de garder la vie. En ce moment je ne suis qu’un tas de boue, la vie dans les tranchées est un vrai calvaire! Il faut raclé ses vêtements à l’aide d’un couteau pour ce débarrasser de toute cette boue car c’est difficile de ce déplacer avec 3 kilos de boue en plus sur soit. J’ai eu soif, j’ai connu l’horreur de l’attente de la mort sous un tir de barrage inouï.
Je tombe de fatigue, voilà dix nuits que je suis en première ligne. Je vais me coucher dans un village à l’arrière où cela cogne cependant.
J’ai sommeil, je suis plein de poux, de boue, de sang et je pue la charogne des macchabées (des morts). Je t’écrirai à nouveau dès que j’en aurais l’occasion.
Au revoir mère.
Ma chère mère,
A l’heure d’aujourd’hui je suis encore vivant, dieu soit loué! J’ai faillit perdre la vie lors d’une attaque mais j’ai été soigné à temps, j’en remercie les infirmières présentes sur place. Chaque jour qui passe, je vois mes camarades tombés les uns après les autres soit morts soit blessés aux mains des Boches, qui nous ont fait souffrir les mille horreurs, liquides enflammés, gaz asphyxiant, attaques, obus…
Ici c’est la guerre! Il devient de plus en plus dur de garder la vie. En ce moment je ne suis qu’un tas de boue, la vie dans les tranchées est un vrai calvaire! Il faut raclé ses vêtements à l’aide d’un couteau pour ce débarrasser de toute cette boue car c’est difficile de ce déplacer avec 3 kilos de boue en plus sur soit. J’ai eu soif, j’ai connu l’horreur de l’attente de la mort sous un tir de barrage inouï.
Je tombe de fatigue, voilà dix nuits que je suis en première ligne. Je vais me coucher dans un village à l’arrière où cela cogne cependant.
J’ai sommeil, je suis plein de poux, de boue, de sang et je pue la charogne des macchabées (des morts). Je t’écrirai à nouveau dès que j’en aurais l’occasion.
Au revoir mère.
A mon amour
En ce jour nous sommes le 25 décembre 1915,quand cette lettre te parviendra je ne serait peut être plus en vie.La vie y est horrible notre seul repas est une soupe de patate et un petit bout de pain, nous manquons d eau et la vie est horrible.les conditions sont rude je ne peut être précis sur cela nos supérieur l interdissent,hier j ai failli perde la vie un obut est tombé a cote de moi,les armes des boches sont plus développé que les notre,nous luttons comme nous pouvons mais c est mission impossible
Aujourd'hui nous somme noël,je ne sait quelle miracle avec les allemand nous avons signer une trêve. Nous ne somme pas combattu,malgré la guerre nous avons chanté jouer et rigoler,même si nous nous ne comprenions pas entre les 2 langues.Des demain le combat reprendra nous somme au front,demain une mission suicide nous attend
Jean