Sagot :
Réponse :
bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton devoir
1. Biographie – présentation de l’auteur
Guy de Maupassant (1850/1893), auteur du XIXème siècle, appartenant aux mouvements littéraires du réalisme et du naturalisme, est le plus grand écrivain de nouvelles. Cet auteur classique est actuellement le plus traduit et vendu en France. Il est également un précurseur ans le genre fantastique.
Quelques œuvres : « Bel Ami », « Boule de Suif », « le Horla ».
2. Que signifie le titre ? Développez : le mot « Horla « n’existe pas c’est une invention de l’auteur qui pourrait venir de « Hors la loi », ou de la juxtaposition de « hors » et « là » (oxymore ; présence qui est là sans être là [je l’ai trouvé sur Internet je ne m’étais pas posé la question avant, maintenant je sais]
3. Genre d’œuvre littéraire : nouvelle fantastique écrite sous forme de journal intime (on retrouve une chronologie avec les dates et l’évolue de l’histoire)
4. Message que l’auteur veut essayer de faire passer : il veut nous montrer que la folie, l’irrationnel sommeille en chacun de nous, que nous sommes tous des sujets potentiels à cette folie. Ce qui le rend original sur le plan formel c’est que le roman se passe dans un cadre réaliste
5. Thèmes de l’œuvre : la santé mentale et son équilibre, l’environnement qui dicte les sentiments, les humeurs, la solitude qui peut bouleverser la vie et l’esprit, la force du subconscient, le surnaturel, la raison
6. Dénouement : mettre le feu à la maison a détruit ses craintes, ses peurs, il fallait le faire pour ne pas tomber dans la folie de façon permanente, mais est-il vraiment mort ? Ce doute, toujours ce doute, qui le mène à penser ceci : sera-t-il obligé de mettre fin à ces jours personnellement, de se donner la mort si « le Horla » n’est pas mort ?
7. Point de vue personnel : Excellente nouvelle qui nous plonge dans un univers à la fois fantastique et réel. Le chemin menant à la folie y est décrit de façon subtile, voire sublime, progressive, bien analysée avec des questionnements sur l’origine de la folie. Le fait que cette nouvelle soit écrite sous forme de journal est très plaisant, on se reconnait au travers du narrateur, on reconnait nos angoisses sourdes.