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bonjour excusez moi de vous déranger
c'est ma question :

Mettez aux temps qui conviennent les verbes entre parenthèses (passé simple, e imparfait, plus que parfait)
Ulysse et les Sirènes « Les uns après les autres, je (enduire) les oreilles de mes compagnons. Ceux-ci alors par les pieds et les mains me (lier) sur la nef, debout contre le mât où ils (nouer) les cordes. Puis, s'asseyant à leur banc, ils (frapper) de leurs rames la mer blanche d'é- cume... La nef ne (échapper) pas aux regards des Sirènes. Elles (improviser) un chant mélo- dieux en déployant la beauté de leur voix... Mon coeur (être rempli) du désir d'écouter. En fronçant les sourcils, je (donner) à mes gens l'ordre de me délier. Mais ceux-ci (se courber) pour tirer sur leurs rames... Lorsque nous eûmes dépassé les Sirènes et que nous n'entendîmes plus ni leurs voix ni leurs chants, mes fidèles compagnons (se hâter) d'enlever la cire avec laquelle je (enduire) leurs oreilles et de me détacher des liens qui me (enserrer). » Homère

merci d'avance​

Sagot :

Réponse :

Bonjour

Explications :

Ulysse et les Sirènes « Les uns après les autres, j'enduisais les oreilles de mes compagnons. Ceux-ci alors par les pieds et les mains me lièrent sur la nef, debout contre le mât où ils nouèrent les cordes. Puis, s'asseyant à leur banc, ils eussent frappé de leurs rames la mer blanche d'é- cume... La nef n'échappa pas aux regards des Sirènes. Elles improvisèrent un chant mélo- dieux en déployant la beauté de leur voix... Mon cœur était rempli du désir d'écouter. En fronçant les sourcils, je donnais à mes gens l'ordre de me délier. Mais ceux-ci se courbèrent pour tirer sur leurs rames... Lorsque nous eûmes dépassé les Sirènes et que nous n'entendîmes plus ni leurs voix ni leurs chants, mes fidèles compagnons se hâtèrent d'enlever la cire avec laquelle j'enduisais leurs oreilles et de me détacher des liens qui me (enserrer). » Homère

Bonne journée

Bonjour

Mettez aux temps qui conviennent les verbes entre parenthèses (passé simple, e imparfait, plus que parfait)

Ulysse et les Sirènes

Les uns après les autres, j'enduisais les oreilles de mes compagnons. Ceux-ci alors par les pieds et les mains me lièrent sur la nef, debout contre le mât où ils nouèrent les cordes. Puis, s'asseyant à leur banc, ils frappèrent de leurs rames la mer blanche d'écume... La nef n'échappa pas aux regards des Sirènes. Elles avaient improvisé un chant mélo- dieux en déployant la beauté de leur voix... Mon cœur était rempli du désir d'écouter. En fronçant les sourcils, je donnai à mes gens l'ordre de me délier. Mais ceux-ci se courbèrent pour tirer sur leurs rames... Lorsque nous eûmes dépassé les Sirènes et que nous n'entendîmes plus ni leurs voix ni leurs chants, mes fidèles compagnons se hâtèrent d'enlever la cire avec laquelle j'enduisais leurs oreilles et de me détacher des liens qui m'enserraient. Homère

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