Bonsoir est-ce que vous pouvez me traduire ce texte svp

Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie, est assassiné par arme blanche et décapité peu après être sorti de son collège de Conflans-Sainte-Honorine. L'assassin, Abdoullakh Anzorov, est un citoyen russe d'origine tchétchène âgé de 18 ans. Samuel Paty montre deux caricatures de Mahomet issues du journal satirique Charlie Hebdo lors d'un cours d'enseignement moral et civique sur la liberté d'expression avec ses élèves de quatrième. L'enseignant avait préalablement demandé aux élèves le souhaitant de ne pas regarder ces images voire de sortir de la salle de classe. Cela provoque la colère du père d'une collégienne, lorsque sa fille lui en parle. Ce dernier, ainsi que le militant islamiste Abdelhakim Sefrioui, publient alors sur divers réseaux sociaux des vidéos dans lesquelles ils traitent Samuel Paty de « voyou » et de « malade ». Son nom et l'adresse de l'établissement scolaire où il exerce sont divulgués sur les réseaux sociaux. Les vidéos ainsi diffusées prennent un aspect viral, suscitant de nombreux messages haineux à l'encontre de Samuel Paty, jusqu'à la perpétration de l'assassinat. En novembre 2020, il est établi que la collégienne avait menti et que ces vidéos sont donc fondées sur un mensonge. ​


Sagot :

Réponse:

Samuel Paty, professor of history and geography, was murdered by stabbing and beheaded shortly after leaving his college in Conflans-Sainte-Honorine. The assassin, Abdullakh Anzorov, is an 18-year-old Russian citizen of Chechen origin. Samuel Paty shows off two caricatures of Muhammad from the satirical newspaper Charlie Hebdo during a moral and civic education class on freedom of expression with his eighth grade students. The teacher had previously asked the students wishing not to look at these images or even to leave the classroom. This angered the father of a college girl when his daughter told him about it. The latter, as well as the militant Islamist Abdelhakim Sefrioui, then publish on various social networks videos in which they treat Samuel Paty of "thug" and "sick". His name and the address of the school where he works are disclosed on social networks. The videos thus disseminated take on a viral aspect, sparking numerous hate messages against Samuel Paty, until the commission of the assassination. In November 2020, it was established that the college girl had lied and that these videos are therefore based on a lie.