Bonsoir,
ce roman, de la période classique, pousse au paroxisme la volonté de morale de cette période. Ainsi s'y affrontent la morale individuelle de la Princesse de Clèves, née de son éducation provinciale, et la morale collective de la Cour, très libertine quant aux moeurs.
Cet affrontement est particulièrement affirmé à travers de la description faite de la Princesse au début du roman ainsi que dans la peinture de la Cour et des réactions des gens présents au bal où arrive le coup de foudre de la Princesse et du Duc de Nemours.
Je n'ai pas d'exempleprécis. Ils sont à trouver dans ces passages.
Bonne soirée