Sauviat n'achetait aucun objet sans la certitude de pouvoir le revendre à cent pour cent de bénéfices Pour se dispenser de tenir des livres et une boutique il payait et vendait tout au comptant. Il avait d'ailleurs une mémoire si parfaite, qu’un objet, restât-il cinq ans sa femme et lui se rappelaient, à un liard près, le prix d’achat enchéri chaque année des intérêts