Sagot :
Réponse :
Les livres n'étaient point des objets. Ils avaient une âme ! Ils avaient l'odeur des livres. Nous humions, nous respirions à pleins poumons, nous nous enivrions. Les livres avaient la sorcellerie des mots. Nous nous extasiions, nous jonglions, nous copiions, nous apprenions, nous nous délections. Les livres avaient une épaisseur et lorsque l'histoire paraissait trop belle et qu'il ne restait que peu de pages à lire, nous ralentissions, nous freinions, nous prenions le temps d'épuiser l'épaisseur.
Je ne suis pas sure mais je pense quand même pouvoir vous aider ;)
« Les livres n’étaient point des objets. Ils avaient une âme ! Ils avaient l’odeur des livres. Nous humions, nous respirions à pleins poumons, nous nous enivrions. Les livres avaient la sorcellerie des mots. Nous nous extasiions, nous jonglions, nous copiions, nous apprenions, nous nous délections. Les livres avaient une épaisseur et lorsque l’histoire paraissait trop belle et qu’il ne restait que peu de pages à lire, nous ralentissions, nous freinions, nous prenions le temps d’épuiser l’épaisseur. »
Voilaa bonne journée
« Les livres n’étaient point des objets. Ils avaient une âme ! Ils avaient l’odeur des livres. Nous humions, nous respirions à pleins poumons, nous nous enivrions. Les livres avaient la sorcellerie des mots. Nous nous extasiions, nous jonglions, nous copiions, nous apprenions, nous nous délections. Les livres avaient une épaisseur et lorsque l’histoire paraissait trop belle et qu’il ne restait que peu de pages à lire, nous ralentissions, nous freinions, nous prenions le temps d’épuiser l’épaisseur. »
Voilaa bonne journée