Réponse :
Baudelaire va comparer l'homme et la mer comme des frères mais des frères ennemis. L'homme ressemble à la mer par ses profondeurs secrètes mais ne peut la dompter.
Le troisième quatrain donne une sorte de clé à ce poème.
Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets :
Homme, nul n’a sondé le fond de tes abîmes ;
Ô mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets !