bonjour, besoin d'aide pour de la conjugaison svp....

Autrefois, il n'était pas facile de traverser la France car les moyens de transport (être) (1) incertains. Jusqu'au moment où la découverte des chemins de fer (transformer) (2) les conditions de voyage, il (falloir) (3) beaucoup de courage pour (se mettre)(4) en route. Et pourtant l'inconfort (ne pas arrêter) (5) les voyageurs puisque les routes (être) (6) constamment traversées par des marchands, des explorateurs, des musiciens. Le temps ne (compter) (7) pas. On (pouvoir) (8) mettre trois jours pour faire quarante kilomètres dans une diligence inconfortable: tout (étre) (9) bon pour ces hommes courageux qui ne (craindre) (10) ni la fatigue, ni la pluie, ni la neige, ni le soleil. De nos jours, les récits de ces interminables voyages au XVII siècle nous (intéresser) (11) vivement par des détails qui nous (amuser) (12) ou nous (faire rire) (13). L'un de ces voyageurs anonymes, un musicien pauvre, (noter) (14) tous les
détails de son parcours entre Paris et Chalon-sur-Saône. En attendant le moment de départ, il avait dû s'installer longtemps à l'avance dans un petit hôtel où il (être) (15) obligatoire de (consommer) (16) des boissons d'un prix très élevé si bien qu'avant même de (mettre) (17) le pied à l'intérieur de la voitures il (dépenser) (18) déjà là plus grande partie de son argent. malgré tant d'incidents, ce pauvre musicien (finir) (19) par (arriver) (20) à sa destination au bout d'un trajet de plusieurs jours. ​


Sagot :

Réponse :

Autrefois, il n'était pas facile de traverser la France car les moyens de transport (étaient ) (1) incertains. Jusqu'au moment où la découverte des chemins de fer (transforma) (2) les conditions de voyage, il (fallait) (3) beaucoup de courage pour (se mettre) (4) en route. Et pourtant l'inconfort (n' arrêtaient ) (5) les voyageurs puisque les routes (étaient ) (6) constamment traversées par des marchands, des explorateurs, des musiciens. Le temps ne (comptait) (7) pas. On (pouvait) (8) mettre trois jours pour faire quarante kilomètres dans une diligence inconfortable : tout (était) (9) bon pour ces hommes courageux qui ne (craignaient ) (10) ni la fatigue, ni la pluie, ni la neige, ni le soleil. De nos jours, les récits de ces interminables voyages au XVII siècle nous (intéressent) (11) vivement par des détails qui nous (amusent) (12) ou nous (font rire) (13). L'un de ces voyageurs anonymes, un musicien pauvre, (nota) (14) tous les

détails de son parcours entre Paris et Chalon-sur-Saône. En attendant le moment de départ, il avait dû s'installer longtemps à l'avance dans un petit hôtel où il (était ) (15) obligatoire de (consommer) (16) des boissons d'un prix très élevé si bien qu'avant même de (mettre) (17) le pied à l'intérieur de la voitures, il (dépensa) (18) déjà là plus grande partie de son argent. Malgré tant d'incidents, ce pauvre musicien (finit) (19) par (arriver) (20) à sa destination au bout d'un trajet de plusieurs jours. ​