Bonjour! Je suis en classe de 4ème et j'aurais besoin d'aide pour mon exercice d'écriture en français pour ce jeudi 24 juin.

Recopiez le paragraphe suivant, en remplaçant les noms et adjectifs entre parenthèses par d’autres qui donneront une atmosphère mystérieuse et inquiétante. Vous ne pouvez utiliser deux fois le même mot.
 
« C’était une (belle) journée (calme), mais (glacée). Mrs. Fairfax avait juste fini d’écrire une lettre qu’il fallait poster ; aussi je mis mon chapeau et ma pèlerine et proposai de la porter à Hay. L’atmosphère était (tranquille), mon chemin était (solitaire). Je marchai rapidement pour me réchauffer. Trois coups retentirent lentement comme je passai près du clocher. Le (charme) de l’heure tenait à la pénombre qui approchait, au soleil (pâle) bas sur l’horizon. Le chemin montait régulièrement jusqu’à Hay ; arrivée au milieu, je m’assis sur un échalier donnant accès à un champ. De mon siège, je dominais Thornfield. Je m’attardai jusqu’à ce que le soleil descendît au milieu des arbres et disparût rouge et lumineux derrière eux. Je me dirigeai alors vers l’est. Derrière le sommet de la colline, au-dessus de moi, la lune éclairait Hay, à moitié perdu dans les arbres ; des quelques cheminées s’élevait une fumée (bleutée). Ce (calme) du soir laissait percevoir aussi bien le (gazouillis) des ruisseaux les plus proches que le (murmure) des plus éloignés. »

Merci à la personne qui m'aidera!​


Sagot :

Réponse :

C’était une triste journée orageuse, mais aussi refroidissante. Mrs. Fairfax avait juste fini d’écrire une lettre qu’il fallait poster ; aussi je mis mon chapeau et ma pèlerine et proposai de la porter à Hay. L’atmosphère était tendu, mon chemin était boueux. Je marchai rapidement pour me réchauffer. Trois coups retentirent lentement comme je passai près du clocher. L'envoûtement de l’heure tenait à la pénombre qui approchait, au soleil blême bas sur l’horizon. Le chemin montait régulièrement jusqu’à Hay ; arrivée au milieu, je m’assis sur un échalier donnant accès à un champ. De mon siège, je dominais Thornfield. Je m’attardai jusqu’à ce que le soleil descendît au milieu des arbres et disparût rouge et lumineux derrière eux. Je me dirigeai alors vers l’est. Derrière le sommet de la colline, au-dessus de moi, la lune éclairait Hay, à moitié perdu dans les arbres ; des quelques cheminées s’élevait une fumée bleuâtre. Cette tranquillité du soir laissait percevoir aussi bien le friselis des ruisseaux les plus proches que le marmonnement des plus éloignés.