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bonjour j'ai un exercice de français à réaliser mais je trouve sa compliqué alors si vous pouviez m'aider à trouver les réponses mercii
la question c'est: dans le texte suivant conjuguer les verbes entre parenthèses soit à l'imparfait ou au passé simple salon le temps qui convient.

Nous .... (être) partie en voyage autour de la côte bretonne.
Nous .... (marcher) tranquillement le long des sentiers de l'île de Brehat.
Le vent .... (souffler) sur mon visage et l'air marin me .... (fouetter) les joues.
Je me .... (sentir) plus vivant que jamais.
J' .... (aimer) cette île, sa pierre ronge sang, ses maisons atypiques et fleuries et la mer.
Alors que j' .... (avancer), les yeux fermés, savourant chaque instant de cette promenade, je .... (percuter) mon camarade de voyage.
Sonné, je .... (s'apprêter) à le sermonner quand je ..... (voir) son air à la fois dépitée et angoissée.
<On a rater le dernier bateau>.
me ..... (dire)-il.
Je .... (être) alors pris d'un fou rire.
Sur sa mine déconfite, je .... (lire) l'incompréhension de ma réaction.
Il ne .... (savoir) pas que j' .... (avoir) tout prévu.
Je l' .... (entraîner) dans la lande et .... (sortir) une tente de mon sac.
Nous ..... (passer) la nuit sur l'île.
Le lendemain matin, nous ..... (remballer) nos affaires pour nous rendre dans le centre-bourg afin de boire un chocolat chaud quand soudain ..... (jaillir) devant nous un magnifique héron.

voila le texte que j'ai à compléter pouvais vous m'aider mercii ​

Sagot :

Réponse :

Bonjour

Explications :

soulignés : les verbes conjugués au Passé simple

en gras: les verbes conjugués à l'imparfait

Nous étions partis en voyage autour de la côte bretonne.

Nous marchions tranquillement le long des sentiers de l'île de Brehat.

Le vent soufflait  sur mon visage et l'air marin me fouettait les joues.

Je me sentais plus vivant que jamais.

J'aimais cette île, sa pierre ronge sang, ses maisons atypiques et fleuries et la mer.

Alors que j' avançais  , les yeux fermés, savourant chaque instant de cette promenade, je percutai  mon camarade de voyage.

Sonné, je m'apprêtai à le sermonner quand je vis son air à la fois dépité et angoissé.

<On a raté le dernier bateau>.

me ..... dit-il.

Je fus alors pris d'un fou rire.

Sur sa mine déconfite, je lisais l'incompréhension de ma réaction.

Il ne savait pas que j'avais tout prévu.

Je l' entrainai dans la lande et sortis une tente de mon sac.

Nous passâmes la nuit sur l'île.

Le lendemain matin, nous remballâmes nos affaires pour nous rendre dans le centre-bourg afin de boire un chocolat chaud quand soudain jaillit devant nous un magnifique héron.

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