2. Relevez les propositions subordonnées et
indiquez leur nature : relative, conjonctive ou
interrogative indirecte.
1. J'ai cru que tu pleurais pour m'attendrir. (SALACROU)
2. Bientôt reviendrait la date où j'étais allé à Balbec.
(PROUST)
3. Je montais sur une chaise et pris de ces raisins une
grappe longue et pesante qui remplissait la coupe aux
trois quarts. Les grains d'un vert pâle étaient dorés d'un
côté et l'on devait croire qu'ils fondraient délicieuse-
ment dans la bouche. (FRANCE)
4. Elle lui demanda combien de mois il consacrerait à
cette thèse. (MAURIAC)
5. Lorsqu'il gèle fort, on voit quelquefois tout là-bas
une troupe de canards sauvages qui cherchent leur
manger. (Le Roy)
6. Je cherchais à savoir s'il fait beau dehors. (NOAILLES)
7. Si vous pensez, comme moi, que mon offense soit
sans excuse, ne m'excusez pas. (DIDEROT)
merci de votre aide ​


Sagot :

Réponse :

1. J'ai cru que tu pleurais pour m'attendrir. (SALACROU) (subordonnée conjonctive complétive)

2. Bientôt reviendrait la date où j'étais allé à Balbec.  (PROUST) (subordonnée relative)

3. Je montais sur une chaise et pris de ces raisins une  grappe longue et pesante qui remplissait la coupe aux  trois quarts (subordonnée relative). Les grains d'un vert pâle étaient dorés d'un  côté et l'on devait croire qu'ils fondraient délicieusement dans la bouche (subordonnée conjonctive complétive) . (FRANCE)

4. Elle lui demanda combien de mois il consacrerait à  cette thèse.(MAURIAC)

Interrogative indirecte

5. Lorsqu'il gèle fort (subordonnée conjonctive circonstancielle de temps) , on voit quelquefois tout là-bas  une troupe de canards sauvages qui cherchent leur  manger (subordonnée relative) . (Le Roy)

6. Je cherchais à savoir s'il fait beau dehors (interrogative indirecte) (NOAILLES)

7. Si vous pensez, comme moi (subordonnée conjonctive circonstancielle de condition) , que mon offense soit  sans excuse (subordonnée conjonctive complétive) , ne m'excusez pas. (DIDEROT)