Réponse :
Dans le document 1, j’observe que lors du 1er contact avec l’antigène du microorganisme, il y a une phase de latence du nombre d’anticorps dans le sang d’1 semaine puis après il y a une phase exponentielle et au bout de 2 semaine la quantité d’anticorps diminue, lors du 2ème contact avec l’antigène du microorganisme, il n’y a plus de phase de latence et la phase exponentielle commence directement et on peut voir que la quantité d’anticorps dans le sang est plus importante que lors de la 1ère fois puis nous observons une phase de latence qui diminue lentement.
Dans le document 2, ils disent que c’est une maladie infantile et qu’elle est bénigne (sans danger) pour la majorité des cas.
Or dans le document 3, je vois que lors du 1er contact avec l’antigène du microorganisme qui est un virus, il faut attendre 2 semaine pour avoir les lymphocyte B sécréteur, puis cela engendre des lymphocyte B mémoire, lors du 2ème contact avec l’antigène du microorganisme, le virus, les lymphocyte B sécréteur démarre de suite. Cela correspond à ce que j’ai vu dans le document 1.
Donc j’en déduis que lorsqu’on a eu un 1er contact avec l’antigène du virus de la varicelle, le système immunitaire, se met en marche, il cherche les lymphocyte B spécifique à cette antigène et cela va générer des lymphocytes B mémoire car comme ça lorsque je suis re en contact avec le même virus de la varicelle mon système immunitaire va pouvoir agir rapidement contre lui car il connait ces antigènes.
