Sagot :
J’ai mis en majuscule là où je pense qu’il y a des fautes :)
C’était par une triste journée de janvier que je quittAIS le camp de Calumet sur le Yukon pour me
rendre au camp de Cherry Creek et je portAIS un léger paquetage sur mon dos. Je remontais Paul Creek vers six
heures et demie du matin et le thermomètre à alcool indiquait qu’ il faisait moins soixante degrés au-dessous de
zéro. La neige tombait tellement violemment que l’ on ne pouvait presque plus voir le chemin. J’ étAIS équipÉ d’
une tenue bien épaisse et ainsi que de grosses moufles bien fourrées; si n’ avis pas cette tenue vestimentaire
si bien épaisse, je ne pourrAIS plus bouger. J’ étais seul sur la route mais, cela ne me posAIS pas de soucis.
Après avoir marcher deux heure, j’ arrivai devant une petite colline très raide recouverte de neige et de
verglas. Je n’ avais rien pour m’ aider à grimper la colline, même pas une petite barrière pour s’ accrocher. Je me
mis a trembler de peur, je me demandais si je pouvais réussir à franchir cette grande étape de mon parcours. Il
était autour de midi lorsque j’ avais enfin réussi à grimper la colline. Je fus très fier de moi, je me disait à ce
moment là que si j’ avais réussi cette étape, je pouvais tout affronter. Je me sentIS fatigué et j’ avais très faim
mais il me restait beaucoup de route à parcourir et mon esprit me disait de continuer mon trajet. Construire un
feu était presque impossible car il y avait beaucoup de vent.
Comme on ne voyait pas très bien le chemin avec toute la neige qui tombait, c’ est lorsque j’ avais
parcouru un quart de mon parcours que je suiS tombÉ dans un trou que je n’ avais pas vu. Le trou était très
profond et j’ avais du mal à grimper sur les parois. J’ espérai que quelqu’un’ un passerait et m’ aiderait à sortir
du trou. Je n’ avaiS aucun espoir qu’ une personne m’ aide et je me sentis triste. J’ avAIS hâte de sortir de ce trou.
Je me rappelAI soudain que j’ avais réussi à escalader une petite colline escarpée avec de la neige et du verglas
où il n’ y avait pas d’ objet pour s‘ accrocher et la monter. J’ ai donc tenter de sortir du trou en m’ accrochant
aux parois et ce n’ était pas très facile. J’ avais enfin réussi à sortir du trou en une heure et c’ était incroyable
pour moi car je pensaiS que je prendrai plus de temps.
Très tard dans la nuit, la neige commençait à tomber plus doucement que depuis mon départ et la
température avait légèrement augmenté. Le vent était très calme et l’ ambiance était très silencieuse. Je pris
ma lanterne qui était dans mon sac pour pouvoir m’ éclairer. Le chemin que je prenait était grand et droit; je ne
vis pas de danger. J’ espéraiS que ce moment agréable dure jusqu’ a mon arrivée au camp de Cherry Creek. Sauf
que malheureusement, après avoir franchis le petit virage qui se trouvait au bout de mon chemin, un vent se mit
à souffler très fort vers un lac gelé qui se trouvait à ma droite. Le vent deux trois fois plus fort que ce matin.
Je devais m’ accrocher À un arbre de toute mes forces pour ne pas tomber dans le lac gelé; c’ est ce que je fis
immédiatement. Quelques minutes passées, je n’ avais plus de forces pour tenir l’ arbre et le vent souffla de
plus en plus fort. J’ ai donc lâché l’ arbre et je suis tombé dans le lac gelé. Le froid avait envahit mon corps, je
ne pouvais plus bougER. J’ avais l’ impression que des épines pointues me transperçait la peau. C’ était une
sensation très désagréable. Tout à coup, j’ aperçu un vieil ermite sur une pirogue. Il me fit de monter à bord et
il accepta de m’ amener au camp de Cherry Creek avec sa pirogue. Le vieil ermite, nommé Miguel Tremblay, me
donna de nouveaux vêtements car les mienS étaient mouillés et je le remercia fortement pour son grand aide.
Nous discutons ensemble au fil du trajet, sur les différents événements étonnants qui nous étaient arrivées
dans notre vie et je lui avait raconté aussi mon incroyable histoire. Ma destination était encore loin mais le
temps passait vite car nous nous sommes bien amusé.
Quand je dus arriver au camp de Cherry Creek, c’ est à ce moment là que je dis adieux à Miguel Tremblay
et que je courus vers vous pour vous raconter mon incroyable aventure. Je n’ oublierai jamais Miguel et mon
incroyable aventure.
C’était par une triste journée de janvier que je quittAIS le camp de Calumet sur le Yukon pour me
rendre au camp de Cherry Creek et je portAIS un léger paquetage sur mon dos. Je remontais Paul Creek vers six
heures et demie du matin et le thermomètre à alcool indiquait qu’ il faisait moins soixante degrés au-dessous de
zéro. La neige tombait tellement violemment que l’ on ne pouvait presque plus voir le chemin. J’ étAIS équipÉ d’
une tenue bien épaisse et ainsi que de grosses moufles bien fourrées; si n’ avis pas cette tenue vestimentaire
si bien épaisse, je ne pourrAIS plus bouger. J’ étais seul sur la route mais, cela ne me posAIS pas de soucis.
Après avoir marcher deux heure, j’ arrivai devant une petite colline très raide recouverte de neige et de
verglas. Je n’ avais rien pour m’ aider à grimper la colline, même pas une petite barrière pour s’ accrocher. Je me
mis a trembler de peur, je me demandais si je pouvais réussir à franchir cette grande étape de mon parcours. Il
était autour de midi lorsque j’ avais enfin réussi à grimper la colline. Je fus très fier de moi, je me disait à ce
moment là que si j’ avais réussi cette étape, je pouvais tout affronter. Je me sentIS fatigué et j’ avais très faim
mais il me restait beaucoup de route à parcourir et mon esprit me disait de continuer mon trajet. Construire un
feu était presque impossible car il y avait beaucoup de vent.
Comme on ne voyait pas très bien le chemin avec toute la neige qui tombait, c’ est lorsque j’ avais
parcouru un quart de mon parcours que je suiS tombÉ dans un trou que je n’ avais pas vu. Le trou était très
profond et j’ avais du mal à grimper sur les parois. J’ espérai que quelqu’un’ un passerait et m’ aiderait à sortir
du trou. Je n’ avaiS aucun espoir qu’ une personne m’ aide et je me sentis triste. J’ avAIS hâte de sortir de ce trou.
Je me rappelAI soudain que j’ avais réussi à escalader une petite colline escarpée avec de la neige et du verglas
où il n’ y avait pas d’ objet pour s‘ accrocher et la monter. J’ ai donc tenter de sortir du trou en m’ accrochant
aux parois et ce n’ était pas très facile. J’ avais enfin réussi à sortir du trou en une heure et c’ était incroyable
pour moi car je pensaiS que je prendrai plus de temps.
Très tard dans la nuit, la neige commençait à tomber plus doucement que depuis mon départ et la
température avait légèrement augmenté. Le vent était très calme et l’ ambiance était très silencieuse. Je pris
ma lanterne qui était dans mon sac pour pouvoir m’ éclairer. Le chemin que je prenait était grand et droit; je ne
vis pas de danger. J’ espéraiS que ce moment agréable dure jusqu’ a mon arrivée au camp de Cherry Creek. Sauf
que malheureusement, après avoir franchis le petit virage qui se trouvait au bout de mon chemin, un vent se mit
à souffler très fort vers un lac gelé qui se trouvait à ma droite. Le vent deux trois fois plus fort que ce matin.
Je devais m’ accrocher À un arbre de toute mes forces pour ne pas tomber dans le lac gelé; c’ est ce que je fis
immédiatement. Quelques minutes passées, je n’ avais plus de forces pour tenir l’ arbre et le vent souffla de
plus en plus fort. J’ ai donc lâché l’ arbre et je suis tombé dans le lac gelé. Le froid avait envahit mon corps, je
ne pouvais plus bougER. J’ avais l’ impression que des épines pointues me transperçait la peau. C’ était une
sensation très désagréable. Tout à coup, j’ aperçu un vieil ermite sur une pirogue. Il me fit de monter à bord et
il accepta de m’ amener au camp de Cherry Creek avec sa pirogue. Le vieil ermite, nommé Miguel Tremblay, me
donna de nouveaux vêtements car les mienS étaient mouillés et je le remercia fortement pour son grand aide.
Nous discutons ensemble au fil du trajet, sur les différents événements étonnants qui nous étaient arrivées
dans notre vie et je lui avait raconté aussi mon incroyable histoire. Ma destination était encore loin mais le
temps passait vite car nous nous sommes bien amusé.
Quand je dus arriver au camp de Cherry Creek, c’ est à ce moment là que je dis adieux à Miguel Tremblay
et que je courus vers vous pour vous raconter mon incroyable aventure. Je n’ oublierai jamais Miguel et mon
incroyable aventure.