Réponse:
La pièce est une condamnation de toute dictature (en 1958, on pense au stalinisme). Ionesco condamne autant le fascisme que le communisme. C'est donc une pièce engagée : «Je ne capitule pas», s'écrie le héros. Le rhinocéros incarne le fanatisme qui «défigure les gens, les déshumanise».