Sagot :
En 2040 après une atroce guerre, la capitale fut divisée en deux parties, l’une d’une richesse immense et l’autre source d’une injustice poignante...Lorsque j’arrivais dans la partie riche de cette ville il faisait nuit. La pénombre contrastait avec les lumières des bougies étincelantes posées sur chaque rebord de fenêtre donnant une allure chaleureuse à la ville. Ces touches dorées faisaient de la capitale un tableau inanimé. Une odeur de fleurs exotiques flottait dans l’air, chatouillant les narines des rares passants. Les ténèbres vous enveloppaient comme dans du coton soyeux augmentant cette sensation de paix intérieure.Dans cette ville endormie le silence profond de la nuit régnait en maître ainsi que les rêves des habitants, créant un monde magique.Cette ville apportait le même réconfort qu’eu apporté une mère berçant un enfant dans ses bras. L’eau, elle aussi bercée par le courant était si pure que l’on pouvait se voir dedans. Hélas, certaines choses ne reflètent pas l’injustice... l’injustice dont était victime la deuxième partie de la ville... Ici le son des sirènes et des alarmes créaient un écho épouvantable, faisant pleurer les enfants et détruisant leurs moindres rêves. Le silence y était effrayant et la musique aussi rare que terrifiante. Ici il n’y avait rien sauf des tuiles broyées et du mortier m, symbole de la ville qu’elle eut été autre fois.. le joyau de la France... Mais comme on le dit si bien, toutes les belles choses ont une fin.. mais cette fin pour l’autre moitié de Paris était injustifiée, du genre à vous faire pleurer, torturer votre âme en pensant à toutes les choses dont étaient privés les habitants. Ils étaient condamnés à rester dans l’oubli à jamais, isolés du reste du monde, seuls face à leurs problèmes et sans personne pour les soutenir...C’était d’une tristesse et d’une colère épouvantable, mais c’était le tragique destin de Paris.