Sagot :
ce matin là, je sentais que j'allais travailler. j'avais réussi à sortir de chez moi, j'avais le cerveau à peu près frais, les nerfs à peu près intact, personne ne m'avait agrippé pour me demander les cinq francs d'une cotisation, les vingt francs du déjeuner. je marchais. j'avais le cœur en joie. alors que j'étais presque arrivé, personne ne m'avait encore déranger. j'étais enfin arrivé
voilà pour le premier texte j'espère que cela va t'aider