Sagot :
Bien souvent, ce sont des causes mixtes qui poussent les personnes sur la route de l’exil : pauvreté, conflits, difficultés sociales et politiques, problèmes environnementaux,…
Il est bien difficile de savoir quelle a été la cause principale de la décision de départ. Par ailleurs, les causes de la migration sont souvent entremêlées : la pauvreté résulte des conflits et des crises politiques et sociales…
Certains partent pour des raisons économiques. Ils sont à la recherche de meilleures perspectives socio-économiques et tentent de travailler à l’étranger, ou ils sont confrontés à une extrême pauvreté dans leur pays et ne voient d’autre possibilité que de partir. Certains travaillent légalement, tandis que d’autres n’ont pas de permis de travail et sont actifs dans l’économie informelle.
Les migrants ne partent pas seulement pour eux mêmes, mais aussi pour leur famille ou leur communauté : ils envoient de l’argent à leur famille, permettant ainsi une amélioration des conditions de vie de leur communauté. Les gouvernements des pays d’origine des migrants sont également intéressés par ces transferts de fonds, qui jouent un rôle clé dans leur économie. Au Mali par exemple, d’après une étude de la Banque mondiale, l’argent envoyé par les Maliens de France a contribué à la construction de 60% des infrastructures.
D’autres migrants partent en raison de circonstances politiques. Ils fuient les guerres, les conflits ethniques, religieux, les violations des droits de l’homme et d’autres situations de ce type. Certains sont immédiatement reconnus comme réfugiés, souvent dans les pays voisins. D’autres deviennent des demandeurs d’asile. Ces derniers n’ont pas toujours le droit de travailler, mais beaucoup travaillent illégalement.
D’autres encore sont victimes de trafic et sont forcés de migrer sans l’avoir forcément choisi. On estime les profits de la traite des êtres humains à 10 milliards de dollars par an.
Il est bien difficile de savoir quelle a été la cause principale de la décision de départ. Par ailleurs, les causes de la migration sont souvent entremêlées : la pauvreté résulte des conflits et des crises politiques et sociales…
Certains partent pour des raisons économiques. Ils sont à la recherche de meilleures perspectives socio-économiques et tentent de travailler à l’étranger, ou ils sont confrontés à une extrême pauvreté dans leur pays et ne voient d’autre possibilité que de partir. Certains travaillent légalement, tandis que d’autres n’ont pas de permis de travail et sont actifs dans l’économie informelle.
Les migrants ne partent pas seulement pour eux mêmes, mais aussi pour leur famille ou leur communauté : ils envoient de l’argent à leur famille, permettant ainsi une amélioration des conditions de vie de leur communauté. Les gouvernements des pays d’origine des migrants sont également intéressés par ces transferts de fonds, qui jouent un rôle clé dans leur économie. Au Mali par exemple, d’après une étude de la Banque mondiale, l’argent envoyé par les Maliens de France a contribué à la construction de 60% des infrastructures.
D’autres migrants partent en raison de circonstances politiques. Ils fuient les guerres, les conflits ethniques, religieux, les violations des droits de l’homme et d’autres situations de ce type. Certains sont immédiatement reconnus comme réfugiés, souvent dans les pays voisins. D’autres deviennent des demandeurs d’asile. Ces derniers n’ont pas toujours le droit de travailler, mais beaucoup travaillent illégalement.
D’autres encore sont victimes de trafic et sont forcés de migrer sans l’avoir forcément choisi. On estime les profits de la traite des êtres humains à 10 milliards de dollars par an.