Sagot :
L'influence des médias a pris une place considérable, ils représentent un pouvoir indéniable dans la société mondiale d'aujourd'hui.
Cette puissance se traduit par leur capacité à fixer les modes de pensée de la société. Je serais tenté de dire à "façonner les modes de pensée", néanmoins leur influence est plus subtile et se limite dans un premier temps plutôt à "définir l’ordre du jour" et donc indirectement d’orienter la pensée. Ils sont une puissance parce qu'ils ont les outils et les mécanismes qui leur donnent la possibilité d'imposer l’ordre du jour. De ce fait, ils conditionnent le comportement des autres pouvoirs. Ils peuvent définir l’ordre du jour des questions politiques, sociales et économiques mais également détruire la réputation d'une organisation, une personne ou un groupe de personnes. C’est surtout à travers cet aspect que l’on peut les considérer comme une véritable puissance. Ils possèdent la capacité de faire mais aussi de détruire la réputation d’une entité.
Dans la société d'aujourd'hui, les médias contribuent à l'émergence de valeurs pour que l'individu les accepte comme valable. Ce processus commence dès notre plus jeune âge et connaît une formidable accélération avec les nouveaux moyens de communication. Les médias contribuent largement à fixer les modes de pensée, à déterminer en grande partie les idées, les habitudes et les coutumes. Ils sont devenus en quelque sorte les "juges de la vérité", ils décident et dictent la mode, la consommation, les modes de vie. Ils établissent ce qui est juste et ce qui est mal, et décident quels sont les événements importants et significatifs dans le monde.
La prépondérance que les médias occupent aujourd’hui n’est néanmoins pas "le fait du prince" comme certains en murmurent l’hypothèse. L’idée d’un grand appareil mêlant médias, élites politique et économique, qui pour défendre leur intérêt commun oriente l’information dans un sens ou dans un autre, semble une hypothèse trop simpliste et difficile à vérifier. Néanmoins une des causes de ce phénomène peut se trouver dans notre société, par notre incapacité à massifier une problématique et une tendance à individualiser chaque problème. La société consumériste et individualiste dans laquelle nous évoluons contribue à l’influence des médias. Dans une logique de confrontation nous pourrions dire que nous sommes une cible "affaiblie" et donc plus vulnérable.
C’est pourquoi, il est essentiel que l’individu nourrisse son esprit critique et sa capacité à analyser l’information et multiplier les canaux qu’il utilise pour s’informer. Il est indispensable de changer la conscience dans la société dans son ensemble, en évitant le prisme de penser que la masse a raison. Au contraire, aller à contre courant de l’idée générale et penser "que l’individu peut changer les masses". Rendant cette tache accessible à tous, chacun à son niveau.
Cette puissance se traduit par leur capacité à fixer les modes de pensée de la société. Je serais tenté de dire à "façonner les modes de pensée", néanmoins leur influence est plus subtile et se limite dans un premier temps plutôt à "définir l’ordre du jour" et donc indirectement d’orienter la pensée. Ils sont une puissance parce qu'ils ont les outils et les mécanismes qui leur donnent la possibilité d'imposer l’ordre du jour. De ce fait, ils conditionnent le comportement des autres pouvoirs. Ils peuvent définir l’ordre du jour des questions politiques, sociales et économiques mais également détruire la réputation d'une organisation, une personne ou un groupe de personnes. C’est surtout à travers cet aspect que l’on peut les considérer comme une véritable puissance. Ils possèdent la capacité de faire mais aussi de détruire la réputation d’une entité.
Dans la société d'aujourd'hui, les médias contribuent à l'émergence de valeurs pour que l'individu les accepte comme valable. Ce processus commence dès notre plus jeune âge et connaît une formidable accélération avec les nouveaux moyens de communication. Les médias contribuent largement à fixer les modes de pensée, à déterminer en grande partie les idées, les habitudes et les coutumes. Ils sont devenus en quelque sorte les "juges de la vérité", ils décident et dictent la mode, la consommation, les modes de vie. Ils établissent ce qui est juste et ce qui est mal, et décident quels sont les événements importants et significatifs dans le monde.
La prépondérance que les médias occupent aujourd’hui n’est néanmoins pas "le fait du prince" comme certains en murmurent l’hypothèse. L’idée d’un grand appareil mêlant médias, élites politique et économique, qui pour défendre leur intérêt commun oriente l’information dans un sens ou dans un autre, semble une hypothèse trop simpliste et difficile à vérifier. Néanmoins une des causes de ce phénomène peut se trouver dans notre société, par notre incapacité à massifier une problématique et une tendance à individualiser chaque problème. La société consumériste et individualiste dans laquelle nous évoluons contribue à l’influence des médias. Dans une logique de confrontation nous pourrions dire que nous sommes une cible "affaiblie" et donc plus vulnérable.
C’est pourquoi, il est essentiel que l’individu nourrisse son esprit critique et sa capacité à analyser l’information et multiplier les canaux qu’il utilise pour s’informer. Il est indispensable de changer la conscience dans la société dans son ensemble, en évitant le prisme de penser que la masse a raison. Au contraire, aller à contre courant de l’idée générale et penser "que l’individu peut changer les masses". Rendant cette tache accessible à tous, chacun à son niveau.
Réponse :
Il paraît que Balzac déjà en 1840 affirmait que la presse était le quatrième pouvoir avec celui de blâmer. Les trois premiers étant : le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire.
Il est vrai que la presse qui informe, qui commente exerce une influence sur les lecteurs, c'est plus vrai encore avec la presse d'opinion qui affiche son orientation politique. Elle va alors mettre en avant les réussites de ceux qu'elle soutient, critiquer ceux dont elle ne partage pas les opinions. Les sites d'information en continu développent des temps de paroles avec des invités qui commentent en permanence. Les réputations se font et se défont. L'importance donnée à un événement par un journal influence l'opinion.
On pourrait dire en le regrettant, que les réseaux sociaux deviennent un sixième pouvoir.