Bonjour pouvez vous m'aidez pour ce devoir de français ??

Barrez les vingt erreurs de cette dictée fautive et corrigez-les.Le narrateur évoque les combats durant la Première Guerre Mondiale.Moi, dabord la campagne, il faut que je le disestout de suite, je n’ai jamais putla sentir, je l’ai toujours trouvé triste avec c’estbourbiers qui n’en finissent pas, ses maisons oules gens nisont jamais et ses chemins qui ne vont nulpart. Mais quand on y ajoute la guerre, c’est à ne pas y tenir. Le vent c’était levé, brutal, de chaque côté des talus, les peupliers mêlait leurs rafale de feuilles aux petits bruits secs qui venaient de là-bas sur nous. Ces soldats inconnus nous râtaient sans cesse, mais touten nous entourent de milles morts, on s’en trouvait comme habillés. Je n’osais plus remué.Ce colonel, s’était donc un monstre! A présent, j’en étais assuré, pire qu’un chien, il n’imaginait pas son trépas! Je conçu en même temps qu’il devaient y en avoir beaucoup des comme lui dans nôtre armée, des braves, et puistout au temps dans l’armée dansface. Qui savaient combien? D’après Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932.

Merci a tout ceux qui m'aideront


Sagot :

Bonjour

Le narrateur évoque les combats durant la Première Guerre Mondiale.Moi, d'abord la campagne, il faut que je le dise tout de suite, je n’ai jamais pu  la sentir, je l’ai toujours trouvée triste avec ses   bourbiers qui n’en finissent pas, ses maisons les gens n'iront jamais et ses chemins qui ne vont nulle part. Mais quand on y ajoute la guerre, c’est à ne pas y tenir. Le vent  s’était levé, brutal, de chaque côté des talus, les peupliers mêlaient  leurs rafales de feuilles aux petits bruits secs qui venaient de là-bas sur nous. Ces soldats inconnus nous rataient sans cesse, mais tout en nous entourant de mille morts, on s’en trouvait comme habillé. Je n’osais plus remuer.Ce colonel, c’était donc un monstre! A présent, j’en étais assuré, pire qu’un chien, il n’imaginait pas son trépas! Je conçu en même temps qu’il devait y en avoir beaucoup des comme lui dans notre armée, des braves, et puis tout au temps dans l’armée d'en  face. Qui savait combien?