Réponse :
Il faudrait leur raconter les cendres : dense parfois, d’un noir de suie dans le ciel variable. Ou bien légère et grise, presque vaporeuse, voguant au gré des vents sur les vivants rassemblés, comme un présage, comme un au revoir. Fumée pour un linceul aussi vaste que le ciel, dernière trace du passage, corps et âmes des
copains ? »
Explications :