Sagot :
Bonjour,
-Imparfait:
Nous étions maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallait monter. Il n’y avait plus d’autres solutions. J’entendais des coups de feu. Des corps tombaient. Si t’as leur que je voyais Boubakar sur une échelle à quelques mètres de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougeait plus. Il était accroché au barbelé et ne parvenait pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commençaient à hurler. Il voulait la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchissais pas. Je descendais dans sa direction. En quelques secondes, j’étais sur lui et arracher la manche de son pull. Il me regarder avec étonnement.
-Passé simple:
Nous fûmes maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallu monter.Il n’y eut plus d’autres solutions. J’entendis des coups de feu. Des corps tombèrent. C’est alors que je vis Boubakar, sur une échelle, à quelque mètre de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougea plus. Il fut accroché aux barbelés et ne parvint pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencèrent à hurler. Ils voulurent la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place.Je ne réfléchis pas. Je descendit dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arracha la manche de son pull. Il me regarda avec étonnement.
J’espère t’avoir aidé. Bonne journée.
-Imparfait:
Nous étions maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallait monter. Il n’y avait plus d’autres solutions. J’entendais des coups de feu. Des corps tombaient. Si t’as leur que je voyais Boubakar sur une échelle à quelques mètres de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougeait plus. Il était accroché au barbelé et ne parvenait pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commençaient à hurler. Il voulait la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchissais pas. Je descendais dans sa direction. En quelques secondes, j’étais sur lui et arracher la manche de son pull. Il me regarder avec étonnement.
-Passé simple:
Nous fûmes maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallu monter.Il n’y eut plus d’autres solutions. J’entendis des coups de feu. Des corps tombèrent. C’est alors que je vis Boubakar, sur une échelle, à quelque mètre de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougea plus. Il fut accroché aux barbelés et ne parvint pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencèrent à hurler. Ils voulurent la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place.Je ne réfléchis pas. Je descendit dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arracha la manche de son pull. Il me regarda avec étonnement.
J’espère t’avoir aidé. Bonne journée.