Sagot :
Dans l'intégralité du passage, on remarque que le molosse est le seul chien qui puisse être à l'origine de la crainte des esclaves.
La description métaphorique (par des comparaisons) du molosse accentuent sa férocité ainsi que l'emploi de la préposition "sans" qui rélève une certaine absurdité descriptive :
- "son corps massif comme un morceau de soufre"
- "ses muscles noués comme des bouillons de lave"
- "sa gueule sans baptême"
- "le regard sans vision"
L'antithèse "le plus épouvantable, c'était son silence" renforcée par le superlatif "plus" ; et la répétition de la négation introduite par l'adverbe "pas" soulignent encore une fois très fortement l'idée d'absurdité (voire de comique) : le molosse répand la crainte par "son silence".
- "pas d'aboiements"
- "pas de grognements"
- "pas de calme ou de sérénité"