Bonjour tout le monde.
J'aurais, urgemment, besoin de vos lumières.
Dans la troisième strophe du poème de Victor Hugo*, "Choses du soir", on me demande de trouver les termes qui s'opposent et d'expliquer comment le rythme des vers vient appuyer ces oppositions.

*La sorcière assise allonge sa lippe ;
L'araignée accroche au toit son filet ;
Le lutin reluit dans le feu follet
Comme un pistil d'or dans une tulipe.

D'avance un grand merci pour votre aide qui me sera extrêmement précieuse.