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bonjour je n'arrive pas à comprendre mon dm en français, merci de m'aider

Question 1 : Donnez un titre à ces parties du texte.

Partie 1 : “Napoléon jeta [...] hurlant de douleur”

Partie 2 : “Aussitôt le tumulte [...] Eux aussi furent massacrés.”

Partie 3 : “Puis une oie se présenta [...] autour d’un feu de bois.”

Partie 4 : “Tous furent mis à mort [...] l’ordre de rassemblement”

Question 2 : Proposez deux adjectifs pour qualifier l’atmosphère dans

ce passage. Justifiez votre réponse.

Question 3 : Commentez l’alternance entre le passé simple et

l’imparfait dans le premier paragraphe du passage. Quel est l’effet

produit ?

Question 4 : Relevez “les crimes” commis par les animaux. Que

pouvez-vous en dire ? La sanction vous semble-t-elle adaptée ?

Justifiez votre réponse.

Question 5 : Selon vous, quels sont les objectifs de cette démonstration

de violence ? Justifiez votre réponse.

Question 6 : A quel événement historique ce passage fait-il référence ?

Question 7 : En quoi l’anthropomorphisme est-il intéressant dans ce

passage ?

Question 8 : En quoi cet extrait du roman est-il intéressant pour la société ? (4 points)

voici le texte:

Napoléon jeta sur l'assistance un regard dur, puis émi un cri suraigu. Immédiatement les chiens bondirent e avant, saisissant quatre cochons par l'oreille et les trainant glapissants et terrorisés, aux pieds de Napoléon. Les oreilles des cochons saignaient. Et, quelques instants, les molosses ivres de sang, parurent saisis d'une rage démente. À la se peur de tous, trois d'entre eux se jetèrent sur Malabar. Pre venant leur attaque, le cheval frappa l'un d'eux en plein bord et de son sabot le cloua au sol. Le chien hurlait miséricorde Cependant ses deux congénères, la queue entre les jambe avaient filé bon train. Malabar interrogeait Napoléon de yeux. Devait-il en finir avec le chien ou lui laisser la ve sauve? Napoléon parut prendre une expression autre, e d'un ton bref il lui commanda de laisser aller le chien, sur quoi Malabar leva son sabot. Le chien détala, meurtri et hur lant de douleur.

Aussitôt le tumulte s'apaisa. Les quatre cochons restaient sidérés et tremblants, et on lisait sur leurs traits le senti- ment d'une faute. Napoléon les invita à confesser leurs crimes. C'étaient là les cochons qui avaient protesté quand Napoléon avait aboli l'assemblée du dimanche. Sans autre forme de procès, ils avouerent. Oui, ils avaient entretenu des relations secrètes avec Boule de Neige depuis son expulsion. Oui, ils avaient collaboré avec lui à l'effondre ment du moulin à vent. oui, ils avaient été de connivence pour livrer la Ferme des Animaux à Mr. Frederick. Ils firent encore état de confidences du traitre : depuis des années. il était bien l'agent secret de Jones. Leur confession ache vée, les chiens, sur-le-champ, les égorgerent. Alors, d'unevoix terrifiante, Napoléon demanda si nul autre animal n'avait à faire des aveux.

Les trois poulets qui avaient mené la sédition dans l'af faire des ceufs s'avancèrent, disant que Boule de Neige leur était apparu en rêve. Il les avait incités à désobéir aux ordres de Napoléon. Eux aussi furent massacrés. Puis une oie se présenta : elle avait dérobé six épis de blé à la moisson de l'année précédente et les avait mangés de nuit. Un mouton avait, lui, uriné dans l'abreuvoir sur les instances de Boule de Neige et deux autres moutons avouerent le meurtre d'un vieux bélier, particulièrement dévoué à Napoléon : alors qu'il avait un rhume de cerveau, ils l'avaient pris en chasse autour d'un feu de bois. Tous furent mis à mort sur le-champ. Et de cette façon aveux et exécutions se pour suivirent : à la fin ce fut, aux pieds de Napoléon, un amoncellement de cadavres, et l'air était lourd d'une odeur de sang inconnue depuis le bannissement de Jones.

Quand on en eut fini, le reste des animaux, cochons et chiens exceptés, s'éloigna en foule furtive. Ils frissonnaient d'horreur, et n'auraient pas pu dire ce qui les bouleversait le plus : la trahison de ceux ayant partie liée avec Boule de Neige, ou la cruauté du châtiment. Dans les anciens jours, de pareilles scènes de carnage avaient bien eu lieu, mais il leur paraissait à tous que c'était pire maintenant qu'elles se produisaient entre eux. Depuis que Jones n'était plus dans les lieux, pas un animal qui en eût tué un autre, füt-ce un simple rat. Ayant gagné le monticule où, à demi achevé, s'élevait le moulin, d'un commun accord les animaux se cou chèrent, blottis côte à côte, pour se faire chaud. Il y avait là Douce, Edmée et Benjamin, les vaches et les moutons, et tout un troupeau mêlé d'oies et de poules : tout le monde, somme toute, excepté la chatte qui s'était éclipsée avant même l'ordre de rassemblement.​

Sagot :

Réponse:

Bonjour,

1) partie 1 : Un cri de souffrance,

partie 2 : Leurs misères,

partie 3 : Une étrange présentation,

partie 4 : Les condamnations,

3) L'alternance entre le passé simple et l'imparfait produit un effet de lenteur dans le texte car le passé simple sert à faire avancer le récit. L'imparfait produit aussi une description dans ce passage (ex: les cochons saignaient)

Désolée je ne peux faire les autres questions.

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