Sagot :

Réponse : Bonsoir.

Un pauvre homme passerait dans le givre et le vent.

Je cognerais sur ma vitre; il s'arrêterait devant

Ma porte, que j'ouvrirais d'une façon civile.

Les ânes reviendraient du marché de la ville

Pourtant les paysans s'accroupiraient sur leurs bâts.

Ce serait le vieux qui vivrait dans une niche au bas.

De la montées et rêverait, attendrait, solitaire.

Un rayon du ciel triste, un liard de la terre

Il s'approcherait du feu.

Son manteau,tout mangé des vers, et jadis bleu

Étalerait largement sur la chaude fournaise.

Piquerait de mille trous par la lueur de braise.

Couvrirait l'âtre et semblerait un ciel noir étoilé.

Et, pendant qu'il secherait de haillon désolé.

D'où ruisselerait la pluie et l'eau des fondrières.

Je songerais que cet homme serait plein de prières

Et je regarderais sourd a ce que nous dirions.

Sa bure, ou je verrais des constellations.

Voila j'espère t'avoir aidé.

Explications :

Réponse:

Bonsoir

Explications:

Un pauvre homme passerait dans le givre et le vent.

Je cognerais sur ma vitre; il s'arrêterait devant.

Ma porte, que j'ouvrirais d'une façon civile.

Les ânes reviendraient du marché de la ville,

Portant les paysans accroupiraient sur leurs bâts.

Ce serait le vieux qui vivrait dans une niche au bas.

De la montée, et rêve attendant, solitaire,

Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

Il s'approcherait du feu.

Son manteau tout mangé des vers, et jadis bleu,

Étalé largement sur la chaude fournaise,

Piqué de mille trous par la lueur de braise,

Couvrerait l'âtre, et semblerait un ciel noir étoilé.

Et, pendant qu'il sécherait ce haillon désolé

D'où ruisselelerait la pluie et l'eau des fondrières,

Je songerais que cet homme serait plein de prières,

Et je regarderais, sourd à ce que nous diserions,

Sa bure où je voyerais des constellations.