Réponse:
Médée, la fascination de l’horreur Horreur et sortilèges dans Médée de Corneille
Le 8 avril 2019, une journée d’étude - organisée conjointement par M. Bernard, M. Desmets et B. Bortolussi de l’Université de Paris-Nanterre, par les IPR de Lettres de l’académie de Versailles et par l’ÉSPÉ de l’académie de Versailles - a été proposée à l’Université Paris-Nanterre autour de la thématique : actualités de Corneille.
Comment appréhender une œuvre vieille de près de quatre siècles ? Comment dire et montrer Corneille aujourd’hui ? Sa voix peut-elle toujours être actuelle ? [1]
Dans ce cadre, Florence Poirson, Maître de conférences émérite de l’université Cergy-Pontoise, a proposé une communication dont le titre était « Médée : la fascination de l’horreur ».
Le présent article a été réalisé à partir des notes que Florence Poirson a bien voulu nous confier, ce dont nous la remercions.
Explications:
je pence ça la répense.