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Sagot :

Réponse :

Notre société de consommation nous encourage par la publicité à consommer toujours plus et la tentation est grande de n'être jamais satisfait. La frénésie, on a parlé de "fièvre acheteuse",  est telle que certains pensent même qu'ils seraient plus heureux s'il pouvaient acheter davantage, le nécessaire et le superflu. Il y aurait danger à confondre AVOIR et ÊTRE. le sentiment permanent d'insatisfaction risque de nous faire passer à côté des valeurs essentielles; Un roman des années 60, Les Choses de Georges Pérec montre un couple qui désire en permanence et qui court à sa perte. Dans ce cas, la consommation nous piège, nous lie et au lieu de nous libérer des difficultés du quotidien nous entoure de chaînes. Nous risquons de nous aliéner au lieu d'être libre.

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