Sagot :
au deuxième paragraphe :
.....elle ne trouvait personne à la hauteur. .... elle trouvait toujours. ..gens viendront...se trouvent...car dans le preumier...
le 3ème paragraphe :
...veut adresser...et à force...et quand il finiras...de ce poème...fille fini...
4ème paragraphe :
de vouloir...on finit...
Bonsoir,
Ce poème parle d’une "certaine fille un peu trop fière" plus précisément d’une fille hautaine qui cherche l’homme idéal avec toutes les qualités et aucun défaut "Jeune, bien fait et beau, d’agréable manière", mais elle critique toute personne qui vient pour l’épouser "Quoi moi ? Quoi ces gens-là ? " "hélas ils font pitié", elle ne trouve personne à sa hauteur elle trouve toujours quelque chose à critiquer "L’autre avez le nez fait de cette façon là" c’était ceci, c’était cela, c’était tout" . Finalement, il n’y avait que des gens mauvais qui venaient pour l’épouser. "Après les bons partis, les médiocres gens vinrent se mettre sur les rangs" malgré cela la fille continuait à les rabaisser. Elle finit par se rendre compte qu’elle prenait de l’âge et amochi (??)"son miroir lui disait: prenez vite un mari". Après avoir critiqué beaucoup d’hommes "après les bons partis" la fille rencontre un homme "celle-ci fit un choix qu’on n’aurait jamais cru, se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse de rencontrer un malotru". Ce poème critique les filles hautaines et impolies car dans le premier vers il dit " certaine fille un peu trop fière" et à la fin la fille épouse un homme comme elle c’est-à dire un homme impoli et hautain.
La morale de ce poème ou bien le message que l’auteur veut adresser aux lecteurs de ce poème c'est qu'à force de vouloir tout gagner on finit par tout perdre car dans le vers 27 il dit "l’âge la dit déchoir: adieu tous les amants"
et quand finira avec quelqu’un comme nous car à la fin de ceux poème la fille finie avec un homme impolie et hautin comme elle "se trouvant à la fin tout aise et tout heureuse de rencontrer un malotru".
incompréhensible
Ce poème a une belle morale à la fin qui est à force de vouloirs tout gagner on finie par tout perdre comme le poème le Héron de Jea
Déjà dit.
Revois la ponctuation.