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Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

on rentre dans la resistance parce qu'on refuse la défaite et le régime de collaboration du gouvernement de Vichy mené par le Marechal Pétain.

pour "réparer l'humiliation de la défaite "

pour participer aux combats comme on put le faire les poilus de lors de la 1ère guerre mondiale ,par patriotisme

pour défendre les droits et les libertés de chacun,pour informer ,transmettre

pour s'opposer au régime de répression qui persécuter les juifs et les populations tziganes

pour aider les prisonniers ,les parachutistes ,les clandestins ....

parce qu'on a plus rien à perdre pour avoir déjà tout perdu.

les motivations sont diverses et appartiennent à celui qui décide de se battre dans l'ombre pour que demain nous puissions vivre en homme libre

voilà quelque idées à développer

bonne journée

Réponse :

La résistance intérieure française, appelée en France la Résistance, englobe l'ensemble des mouvements et réseaux clandestins qui durant la Seconde Guerre mondiale ont poursuivi la lutte contre l'Axe et ses relais collaborationnistes sur le territoire français depuis l'armistice du 22 juin 1940 jusqu’à la Libération en 1944.

Si la Résistance active et organisée n'a jamais rassemblé plus de 2 ou 3 % de la population française, elle n'aurait pas pu survivre ni se développer sans de multiples complicités populaires, à l'époque des maquis. De plus, c'est grâce à la solidarité de la population que les personnes persécutées par Vichy ont pu leur échapper.

L'histoire de la Résistance intérieure est indissociable de celle de la France libre. Le général de Gaulle, chef des Français libres, réfugié à Londres, dirige ses agents en métropole occupée par le biais des réseaux du BCRA ou d'envoyés tels que Jean Moulin, Pierre Brossolette et Jacques Bingen. Ces derniers reçoivent la charge d'unifier tous les courants et mouvementes de la Résistance intérieure, sous l'égide de Londres puis d'Alger. La création du Conseil national de la Résistance par Jean Moulin, le 27 mai 1943, puis celle des Forces françaises de l'intérieur (FFI) par Jacques Bingen, le 1er février 1944, marquent les jalons essentiels de ce processus d'unification parfois difficile.

Explications :

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