pourriez vous m'aider svp

1) A. Et une conversation s'étant enfin engagée, elle
roula uniquement sur les locataires de la maison.
Madame Lorilleux demanda à son frère s'il n'avait pas entendu en montant les gens du quatrième se
battre. Ces Bénard s'assommaient tous les jours ; le mari rentrait soul comme un cochon [.--).

B. – C'est donc sérieux ? murmura-t-il. Ce sacré Cadet-Cassis, on ne sait jamais s'il veut rire. Ah ! oui, madame est la personne, dit à son tour la femme en dévisageant Gervaise. Mon Dieu ! nous n'avons pas de conseil à vous donner, nous autres.
C'est une drôle d'idée de se marier tour de même. Enfin, si ça vous va à l'un et à l'autre. Quand ça ne réussit pas, on s'en prend à soi, voilà tout.

C.-- Et vous avez deux enfants, madame. Ah ! ça, par exemple, je l'ai dit à mon frère : Je ne comprends pas comment tu épouses une femme qui a deux
enfants... Il ne faut pas vous fâcher, si je prends ses intérêts ; c'est bien naturel. Vous n'avez pas l'air fort, avec ça... N'est-ce pas, Lorilleux, madame n'a pas l'air fort ?
Émile ZOLA, L'Assommoit, 1877.

a. Relevez les propositions interrogatives indirectes dans
les trois extraits.
b. Écrivez les questions du discours direct correspondant, dans les trois registres.
c. Expliquez comment les deux questions posées directe
ment influencent la réponse.
d. Poursuivez le dernier extrait en écrivant les questions qui
pourraient être posées à Gervaise.

2) Cependant, comme Jérôme-Nicolas Séchard avait
eu le tout de la veuve Rouzeau pour dix mille
francs en assignats, et qu'en l'état actuel des choses
trente mille francs étaient un prix exorbitant, le
fils s'écria :
- Mon père, vous m'égorgez !
- Moi qui t'ai donné la vie ?... dit le vieil ivrogne
en levant la main vers l'étendage. Mais, David, à
quoi donc évalues-tu le brevet ? Sais-tu ce que vaut
le Journal d'Annonces à dix sous la ligne, privilège
qui, à lui seul, a rapporté cinq cents francs le mois
dernier ?

question:
Réécrivez cet extrait en rédigeant en discours indirect les paroles.

3)Candide, effrayé, recule.
« Hélas ! dit le misérable à l'autre misérable,
ne reconnaissez-vous plus votre cher Pangloss?
- Qu'entends-je ? Vous, mon cher maître ! VOUS,
dans cet état horrible ! Quel malheur vous est-il donc
arrivé ? Pourquoi n'êtes-vous plus dans le plus beau
des châteaux ? Qu'est devenue Mlle Cunégonde, la
perle des filles, le chef-d'oeuvre de la nature ? [...]

question:
Réécrivez cet extrait en rédigeant en discours indirect les paroles.​


Sagot :

a. dans l’extrait A : Madame Lorilleux demanda à son frère s’il n’avait pas entendu en montant les gens du quatrième se battre.
b. dans l’extrait B : il demanda si c’était sérieux.
dans l’extrait C : il demanda si madame n’avait pas l’air fort.
c. je sais pas
d. je sais pas

2)
a. Cependant, comme Jérôme-Nicolas Séchard avait eu le tout de la veuve Rouzeau pour dix-mille francs en assignats, et qu’en l’état actuel des choses trente mille francs etaient un prix exorbitant, le fils criait que son père l’égorgeait. Le père demanda alors lui qui lui avait donné la vie en levant la main vers l’étendage. Il lui demanda à quoi donc évaluais t-il le brevet et ce que valait le Journal d’Annonces à dix sous la ligne, privilège qui, a lui seul, a rapporté cinq cents francs le mois dernier. (je suis pas sûr pour cette question)

3)
Candide, effrayé, recule. Le misérable demanda à l’autre misérable s’il reconnaissait leur cher Pangloss. Il demanda ce qu’il entendait, lui, son cher maître ! il était dans un état horrible ! Il lui demanda alors quel malheur lui était-il arrivé et pourquoi il n’était plus dans le plus beau des châteaux. Il lui demanda encore qu’était devenue Mlle Cunégonde, la perle des filles, le chef d’œuvre de la nature (ici aussi je suis pas sûr)